Jeden z pierwszych kryminałów w dziejach literatury. Jego akcja rozgrywa się w latach 60. XIX w. w Paryżu. Agenci śledczy zatrzymują mężczyznę, który przyznaje się do potrójnego morderstwa w owianym złą sławą szynku Pieprzniczka. Zostaje on zamknięty w więzieniu, ale gdy zdaje się, że sprawa została wyjaśniona, jeden z agentów zaczyna podważać słowa mężczyzny. Wkrótce pojawiają się kolejne ofiary. Rozpoczyna się śmiertelna gra z mordercą.
On retrouve la comtesse de Trémorel morte au château d’Orcival, propriété du comte de Trémorel. Le comte et tout les domestiques sont absents, une forte somme d’argent a disparu... Les policiers croient que tous les indices dans la maison et à l’extérieur. Heuresement, c’est l’agent de Surêté Lecoq sur la scène, investigateur de génie aux méthodes quelques peu atypiques. Allors, qui est vraiment la victime du crime crapuleux?
«Pourquoi Pascal Divorne donna sa démission moins de quinze jours après sa sortie de l’école des ponts-et-chaussées, dont il était un des élèves distingués, on ne l’a jamais su au juste. Il ne prit pas la peine d’expliquer, et ne donna aucune raison, peut-être parce qu’il n’en avait pas des bonnes à donner. J’entends de ces raisons admirables, basées sur un intérét certain et un égoïsme prudent, seules admissibles et conculantes pour des judes payant patente.»...
C’est une saga en trois tomes, où se réunissent les complots, l’amour impossible, les vengeances et tous les ingrédients du genre. L’ingénieur Raymond Delorge, trouvé moribond sur le boulevard Clichy. Autrefois le père de Raymond, un général, a été tué parce qu’il connaissait les détails d’un coup d’État auquel il ne voulait pas participer. Plus tard, Raymond tombé amoureaux avec Simone de Maillefert, fille de la duchesse de Maillefert. Malheuresement la duchesse lui préfèr...
C’est une histoire d’une famille typique de la bourgeoisie du Second Empire qui vive la vie tranquille. Un fois, pendant un dîner avec plusieurs de leurs amis, le banquier Thaller fait irruption chez eux et l’accuse publiquement le père (qui est un caissier principal du Comptoir de Crédit mutuel dont il est le directeur) d’avoir détourné une grande somme d’argent. Quelle obscure machination se cache derrière cette stupéfaction? Pourquoi Thaller ne livre-t-il pas le coupable...
«Les gens de bureau» est un récit plaisant et en même temps une une très bonne satyre de l’administration du XIX siècle. Ici vous pouvez trouver les parallèles à faire avec l’actuelle ou reconnaître quelques collègues dans les descriptions des fonctionnaires. Avec le portrait d’un jeune homme, Romain Caldas, Gaboriau réalise le portrait de différents types d’employés et de leurs misères. Est-ce que le travail dans l’administration publique a bien changé?
Emile Gaboriau commence ce livre avec les beaux mots: «En écrivant votre nom à la première page de ce volume permettez-moi d’attester une amitié dont je suis fier.» C’était un jeudi soir du 15 octobre 1869, depuis longtemps déjà la nuit était venue. Il faisait froid, le ciel était noir comme de l’encre, la vent soufflait en tempête, il pleuvait. Les sombres nouvelles étonnent Marguerite, jeune fille que le comte a retirée d’un orphelinat...
Le premier titre du roman «La capitaine Coutanceau» était «La route de Berlin». C’est un livre patriotique du temps de la guerre franco-allemande de 1870. Ici il y a une histoire de vieux grognard, qui est le capitaine Coutanceau et qui raconte ses petits enfants des événements de cette guerre qui démarre alors. C’est la période révolutionnaire de 1792.
Célestine Lerouge, veuve, est retrouvée égorgée avec une sauvagerie effroyable. Tous les indices conduisent à un jeune homme de bonne famille. Mais quelle est la vérité? «L’affaire Lerouge» est le premier roman « judiciaire » français. Son auteur, Émile Gaboriau, crée une intrigue policière où se mêlent la construction astucieuse et l’histoire amoureuse.
Quand Paris a devenu la proie d’un immense chantage? Une redoutable association de trois malfaiteurs fait trembler la capitale. Les passions humaines si banales que sont l’amour, l’ambition et l’argent transforment les gens en personnes très dépendant. Paris manque de quelqu’un, qui peut assembler toutes les pièces du puzzle arrêter la formidable machination. Qui sera en mesure de sauver la capitale?
«La corde au cou» est un chef-d’oeuvre de la littérature policière. C’est un récit de la famille du comte de Claudieuse. Ils subissent bien des malheurs dès le début du roman: l’incendie total du domaine, l’agression du comte victime de coups de feu, la ruine... Les indices conduisent à Jacques de Boiscoran, mais un avocat parisien, Manuel Folgat, se persuade rapidement de l’innocence de l’accusé. Puis il découvre que le passé d’un jeune homme est uni par un lien secret ave...
«Qu’on n’accuse personne. Je meurs volontairement. Je prie Mme Chevassat de porter à leur adresse les lettres jointes. Henriette.» Une jeune fille du comte de la Ville-Handry, Melle Henriette, vaincue par une vie difficile et dans une misère extrème décide de mourir. Un vieux brocanteur sauve la fille et trouve deux lettres qu’elle a laissé avant de mourir. Il les récupère discrètement et cela va changer la destin à tous les deux...
«C’était le mercredi 15 novembre de l’an de grâce 1665. Ce soir-là, il y avait petit souper et grande companie, rue Vieille-du-Temple, chez la Vienne, le baigneur à la mode, l’éluviste en renom, le barbier du monde élégant...» Texte et intrigue d’une autre époque, histoire d’un jeune homme, qui avec toute la poésie du cœur rêve de développer son roman d’amour avec une belle dame.
Deux cadavres dans la première page, troisième dans la suivante... Sans doutes, ce sont les meurtres violentes: pistolet et poison sont les instruments. «Monsieur Lecoq» est vraiment le grand chef-d’œuvre de son père, Emile Gaboriau, qui est un peintre authentique de l’époque du Second Empire. L’auteur nous entraîne à voyage dans le temps pour découvrir cet ancêtre des polars, un complot entre deux familles et une énigme passionnante qui s’impose par l’analyse psychologique...
Jedna z pierwszych powieści, które możemy zaliczyć do gatunku kryminału. Paryż, lata 60. XIX w. Oddział agentów śledczych pod wodzą niejakiego Generała odkrywa potrójne morderstwo w szynku Pieprzniczka, nie cieszącego się dobrą renomą. Na miejscu agenci znajdują żywych: właścicielkę oraz mordercę, który przyznaje się do zabicia trzech mężczyzn w obronie własnej: jednego poprzez popchnięcie, wskutek czego uderzył głową o twardą posadzkę, i dwóch z pistoletu. Wszystko zdaje si...